À PROPOS DE CE SITE MAGNIFIQUE

Clic pour visiter le site des plus beaux villages de FranceUn premier château est construit au XIIe siècle avant d’être détruit durant la croisade des albigeois menée par les armées de Simon de Monfort.
Après le traité de Paris en 1259, Castelnaud reconnaît la suzeraineté du duc d'Aquitaine, Henri III d'Angleterre. Un nouveau château est alors rebâti au cours du XIIIe siècle. En 1368, Magne de Castelnaud épouse le seigneur Nompard de Caumont. Les Caumont deviennent alors les seigneurs de Castelnaud et de Berbiguières.
Prenant le parti des Anglais pendant la guerre de Cent Ans, il est définitivement pris en 1442 par les armées du roi de France, Charles VII. À la suite du conflit, la famille de Caumont récupère le château et en reste propriétaire jusqu’à la Révolution.
Sans cesse adaptés au progrès de l’artillerie, les travaux d’aménagement se poursuivent jusqu’au début du XVIIe siècle. Après avoir été abandonné à la Révolution, le château sert de carrière de pierres en 1832. Sa restauration s'étend de 1967 à 2012.
Exceptionnel exemple de fortification privée féodale, son parti architectural est rationnel et efficace : le donjon, à cheval sur l’enceinte au profil en forme d’éperon, protège l’entrée principale ; percée de nombreuses archères, cette courtine fait partie d’un système défensif performant succédant à deux lignes défensives.

Pour vous guider


Situation nationaleOFFICE DU TOURISME

Le Bourg
24250 DAGLAN
Tél : 05.53.29.88.84
SITE WEB


Situation localeHÔTEL DE VILLE

Bourg

24250 Castelnaud-la-Chapelle
 Tél. 05 53 29 51 21
SITE WEB



 

La légende du château

Entre Domme et Saint-Cyprien, on trouve un point de la vallée de la Dordogne qui s'élargit et s'encadre dans une suite de rochers très-élevés, perpendiculaires, lacérés par de longues incisions, et ressemblant à d'innombrables tuyaux d'orgues fantastiques. Leurs deux plus hautes pointes, distantes d'environ trois kilomètres l'une de l'autre, et séparées par la rivière, portent le château de Castelnau et celui de Baynac, monuments de la féodalité la plus reculée.

Le voyageur est saisi du plus grand étonnement en voyant grandir cette masse à mesure qu'il gravit la rue qui y conduit. Ce qui lui paraissait une insignifiante et mesquine construction devient un vaste et…

La petite histoire du château de Castelnaud

C’est à la rencontre de la glorieuse Dordogne et du modeste Céou que Castelnaud s’est érigé. En affrontant la belle rudesse des ruelles, parmi les terrasses sous treilles, on accède, à près de 300 mètres d’altitude, au château féodal et à l’inoubliable point de vue qu’il offre sur la vallée et ses sites. La récompense pourrait être de rejoindre sur l’eau, depuis la base de canoë du village, le hameau des Milandes et d’admirer au passage le château de Fayrac et ses toits d'ardoises sur la rive gauche, puis celui de Beynac sur la rive droite forteresse féodale sur sa falaise rocheuse, pour arriver au Parc de Joséphine Baker dominé par son château où elle a adopté sa "tribu arc-en-ciel", ses 12 enfants ; ou bien d’emprunter la piste cyclable pour une balade bucolique en longeant le Céou.


 


Le château de Castelnaud la Chapelle, plus beau village de France
L'église de Castelnaud

Érigé au XIIe siècle, Castelnaud-la-Chapelle est établi en terrasses.
En montant les ruelles escarpées, les vieilles maisons périgourdines couvertes de lauzes, à l’architecture si singulière, s’offrent à vous.

Si vous aimez les églises du Périgord, l’église Saint-Michel-Archange de Castelnaud va vous séduire !
Elle est dédiée à Saint-Michel qui chassa l’ange Lucifer et terrassa le Dragon de l’apocalypse !

À proximité du village, dans un corps de ferme du XVIIIe siècle, venez découvrir l’Eco-Musée de la Noix, entouré d’une noyeraie BIO de sept hectares. La culture du noyer et de la noix du Périgord s’offre à vous !
La truffe du Périgord vous fascine ? visitez sur place la truffière du domaine de Vielcroze.

Le musée de la guerre


Inauguré en 1985, le musée de la guerre au Moyen Âge investit les salles du logis seigneurial. Le fonds de la collection est constitué de 250 pièces d’armes du XIIIe au XVIIe siècle, en provenance de l’Europe(épées, hallebardesarmuresarbalètes, pièces d'artillerie), reconstitutions d’engins de siège ainsi qu’un ensemble mobilier. Le musée s’articule de façon dynamique selon une succession d’espaces différents : salle d’artillerie, coursives, salles d’armes, maquettes, salles vidéo, terrasses, magasin d’armes, casemates, atelier du batteur d’armure, cuisine, salle haute du donjon meublé, galerie de hourds, pour un total de quinze salles.
Le donjon du château
 
Il comprend :
 la salle basse qui présente une collection exceptionnelle d'arbalètes. 

 la salle haute : elle accueille une collection de meubles des XIVᵉ et XVᵉ siècles. Centre de commandement du château, cette salle donne accès à des postes défensifs stratégiques :

    — La galerie des hourds, en bois : au XIIIᵉ siècle, son plancher était percé de trappes permettant aux défenseurs de protéger le pied du mur en jetant des projectiles sur les assaillants. 

Elle a été remplacée par une galerie de mâchicoulis en pierre qui couronne le donjon. Ces hourds ont été reconstitués lors des travaux de restauration du château. 

    — Le chemin de ronde au sommet de la courtine, il permet aux archers et aux arbalétriers de contrôler la basse-cour et la haute cour. De là, on observe les lignes de défense successives (enceinte basse, barbacane, courtine) qui permettent de contrôler en profondeur l'avancée des assaillants.

 

 Le château en vidéo
 
Découvrir le village

 Érigé au XIIe siècle, Castelnaud-la-Chapelle est établi en terrasses.

En montant les ruelles escarpées, les vieilles maisons périgourdines couvertes de lauzes, à l’architecture si singulière, s’offrent à vous.

Si vous aimez les églises du Périgord, l’église Saint-Michel-Archange de Castelnaud va vous séduire !
Elle est dédiée à Saint-Michel qui chassa l’ange Lucifer et terrassa le Dragon de l’apocalypse !

 

Le village en vidéo


 

  




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La rivière DORDOGNE

La Dordogne conflue avec la Garonne, ce qui forme l'estuaire de la Gironde. Pour cette raison, elle est qualifiée de rivière dans les dictionnaires et encyclopédies ainsi que par le Sandre. Toutefois, quelques organismes régionaux la qualifient de fleuve, considérant que la Gironde est un estuaire commun à la Garonne et à la Dordogne, ce qui ferait de la Dordogne le cinquième plus long fleuve de la France métropolitaine.

La divergence de dénomination (alors que ses caractéristiques hydrologiques ne sont pas en cause) renvoie au problème de la définition d'un estuaire : la Gironde est-elle un estuaire commun entre la Dordogne et la Garonne, ou bien la Dordogne est-elle un affluent du fleuve Garonne ? Si le choix reste anodin pour l'appellation du cours d'eau, il implique cependant une hiérarchisation différente du ou des bassins versants.

Un argument notable qui fait de la Dordogne un fleuve est la présence d'un mascaret puissant résultant de la pénétration du domaine maritime dans le cours d'eau lors des hautes marées. Le mascaret de la Dordogne est très connu et constitue une attraction. Pour la Dordogne, la vague remonte jusqu'à Fronsac, aux abords de Libourne, soit à une trentaine de kilomètres à l'intérieur. La vague est particulièrement puissante au port de Saint-Pardon sur la commune de Vayres. L'influence maritime sur la Dordogne ne se limite pas au seul mascaret : le niveau du cours d'eau est soumis à l'action des marées jusqu'à Castillon-la-Bataille, allant même jusqu'à Pessac-sur-Dordogne lors des marées de vives-eaux. Ces flux et reflux quotidiens peuvent être aisément visualisés sur le relevé des hauteurs d'eau mesurées à la station hydrologique de Libourne.

La Dordogne aurait fort bien pu être classée affluent du Chavanon, près de la commune corrézienne de Confolent-Port-Dieu, qui se situe au début de la retenue d'eau du barrage de Bort-les-Orgues. Le Chavanon — parfois dénommé Chavanou, aussi appelé Ramade dans son cours supérieur — rejoint la Dordogne après un cours de 54 km. À cette confluence, la Dordogne n'en a seulement parcouru que 39, soit une quinzaine de moins, mais, a contrario, elle déverse un volume d'eau supérieur.

LE COIN DES GOURMANDS

Aujourd'hui : LE CONFIT DE CANARD DU PÉRIGORD

Ingrédients

Préparation :

  • Préparation 10 min
  • Cuisson 2 h
  • Repos 1 j 0 h 0 min
  • 1 Mélangez le gros sel, le poivre et le mélange 4 épices dans un plat.
  • 2 Avec cet assaisonnement, badigeonnez le côté chair des cuisses de canard.
  • 3 Placez ensuite les cuisses de canard dans le plat. Laissez mariner au frais pendant 24 heures minimum.


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