C'est un lieu mythique. Belle-Île qui porte si bien son nom, doit son élogieuse réputation à son environnement exceptionnel.

 

Paysages éclectiques, falaises déchirées et panoramas grandioses, landes et dunes préservées, sentiers bucoliques ouverts aux balades romantiques et aux flâneries, Belle-île a une nature généreuse et fascinante. Les bellilois, qui tous, l'aiment passionnément et goûtent à s'y égarer encore, prennent minutieusement soin d'elle. Pour offrir sa splendeur à tous, ils savent en protéger les richesses et en ménager les ressources, et en font, au-delà d'un lieu unique de sérénité et d'inspiration, un authentique territoire du tourisme responsable. Durant toute l'année, l'île est un théâtre permanent de création artistique et de vie locale. Ajoutez à cela une intense vie culturelle, et vous entreverrez déjà quelques facettes de ce paradis en mer, qui n'a pas fini de vous surprendre...


 

 

 

 

RENSEIGNEMENTS UTILES   LA SITUATION DE BELLE-ÎLE  
La légende de Jean et Jeanne, les menhirs de Belle Île en mer

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HÔTEL DE VILLE
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Situation nationale

Situation locale

 

Jean et Jeanne

Ces menhirs, datant du Néolithique1, sont situés à l’Est du hameau de Kerlédan, d’où ils tirent leur nom, le long de la route départementale RD25. Jean est situé à environ 140 m au Nord-Est du hameau du Petit-Anvorte, et Jeanne à environ 410 m. Ils sont eux-mêmes distants l’un de l’autre d’environ 340 m. Ils sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du 17 février 1943.

Ces deux pierres sont la triste empreinte de l’amour interdit. L’histoire se situe à l’époque où Jules César n’avait pas encore envahi la France, que l’on nommait donc encore la Gaule. L’Ile était alors peuplée d’une petite colonie gauloise, peu riche, mais sagement dirigée par les druides.

En effet, la légende raconte que deux jeunes gens, Jean et Jeanne, s’aimaient d’un amour passionnel.

Jean était fils de barde2 et barde lui-même. Il était donc issu d’une famille riche, mais les deux seules choses qui comptaient pour lui était de chanter la nature, la mer et la gloire des guerriers celtes ainsi que son amour pour Jeanne… Source "le mystique Morbihan"

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 L'histoire de Belle-Île

Belle-Ile-en-Mer est située dans l’Atlantique, appartenant géographiquement et admi-nistrativement au département du Morbihan arrondissement de Vannes. L’île est la terre insulaire la plus importante de toute la Bretagne et de la France, la Corse exceptée. Les Grands Sables offrent une plage d’au moins douze cents mètres (commune de Locmaria) ;Port-Phillippe, dans la commune de Sauzon, et le Port du Palais, dans la ville du même nom, sont les baies les plus vastes. La dernière est protégée par une citadelle, ouvrage de Vauban, et tout un système de fortifications rendrait bien difficile, sinon impossible, la prise de Belle-Ile. (Extrait issu de "la France pittoresque")

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La citadelle de Belle-Île-en-Mer

Un clic pour agrandir la photoC'est un fort dominant un havre qui est attesté très anciennement sous le nom de Balaë ou Pallaé, d'origine obscure, qui a donné son nom à la commune de Palais (et non du Palais, en raison de cette étymologie).

Ce fort a défendu l’île contre les pirates, les Espagnols et surtout les Anglais en 1683. Il a été agrandi par les ducs de Gondi de Retz, puis par le surintendant Fouquet qui en a fait une citadelle. Sa double enceinte, ses puissants bastions d'angle, ses dehors portent la marque de Vauban, qui y séjourne en 1683, 1687 et 1689. Assiégée à la fin de la guerre de Sept Ans, la citadelle tomba en 1761 entre les mains des Anglais qui occupèrent toute l'île jusqu'au traité de Paris de 1763. (Source Wikipédia)

 


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Musée de la Citadelle

Fondée au XIᵉ siècle, remaniée par les Gondi, Nicolas Fouquet et Vauban, la Citadelle de Belle-Ile domine la rade de Le Palais. Un musée d'art et d'histoire, une salle de la marine, des concerts et expositions, une hôtellerie permettent d'y lier culture et détente.

 

Randonnée pédestre sur l'île

Bien sûr, il me semblait facile et utile de vous informer que vous aviez la possibilité de randonner sur cette île magnifique. Plusieurs randonnées sont à votre disposition, mais l'une d'elle a retenu mon attention, c'est la randonnée du GR 340. Une découverte fabuleuse de Belle Île pendant 4 jours.

 

L'album photos du séjour

Un album photos de 176 photos vous est proposé afin de découvrir le mieux possible cette île. Un grand nombre de photos qui ont été prises au moment de balades ou de randonnées à pied. D'où la diversification des prises de vue. Nous espérons qu'il vous sera possible et agréable de vous rendre dans ce petit coin de paradis. Mais auparavant visionnez l'album photos.

 Un clic pour ouvrir l'album photos  

BELLE-ILE

Mis à part quelques boisements de ravins, comme le vallon nord de Port-Maria, il ne reste plus trace de la végétation primitive qui a probablement dû être une vaste lande boisée ; le centre de l’île a été complètement défriché et divisé en lots d’environ 20 hectares, attribués chacun à une famille lors de la colonisation de l’île au IXe siècle par les moines de l'abbaye Saint-Sauveur de Redon. La partie centrale du territoire est depuis consacrée à l’agriculture. Au XVIIIe siècle, une forêt de pins et de châtaigniers a été replantée sur des terres de landes incultes par l’agronome Gabriel Bruté de Rémur (1726-1786), qui a par ailleurs introduit des méthodes plus rationnelles de culture et d’élevage. Le Bois du Génie, entourant les fortifications Vauban, a été planté pour mieux dissimuler et protéger ces mêmes fortifications (notamment, les « casemates »). Le nom vient de « génie militaire », ingénieur donc, ayant décidé de cette plantation. L’agriculture est réellement devenue prospère au XIXe siècle (élevage ovin et bovin, culture de primeurs, mais aussi de blé nécessitant l’activité de cinq moulins à vent), et cela grâce à la forte demande des populations travaillant pour la marine marchande, les conserveries de sardines et les chantiers navals. 

 

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