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À PROPOS DU BOUT DU LAC

 

Tout au fond du petit lac d’Annecy se situe un marais classé réserve naturelle Natura 2000 ou la faune et la flore vivent en liberté : Dernière grande zone humide du lac, il s’agit de la réserve du Bout-du-Lac de Doussard.

Étendue sur plus de 80 hectares, cet espace humide est traversé par deux cours d’eau, l’Eau Morte et l’Ire (un des derniers deltas de France non canalisé) qui alimentent le lac d’Annecy et font la joie des Castors.

Une balade aménagée de 1,7 km (aller et autant pour le retour) très simple d’accès (poussettes et fauteuils) permet de se promener au sein des divers paysages de la réserve : sous-bois, rive de torrent, prairie en friche, landes, parcours dans la roselière…

Renseignements divers

Situation nationaleBUREAU D'INFORMATIONS TOURISTIQUES
route de la Plage
Bout du Lac
74210 Doussard
Tél. 04 50 44 60 24
SITE INTERNET 

Situation localeMAIRIE
50 Place de la Mairie
74210 Doussard
Tél. 04 50 44 36 49
SITE INTERNET


 

La réserve du bout du lac

La réserve naturelle du Bout du lac est un espace humide traversé par deux cours d’eau, l’Eau Morte et l’Ire, qui alimentent le lac d’Annecy. Cette zone marécageuse située au sud du lac constitue un milieu de vie exceptionnel. Forêts humides, roselières, prairies humides, tourbières alcalines constituent cet écosystème et offrent une diversité favorable à l’implantation d’un grand nombre d’espèces animales ou végétales, communes, rares ou sensibles. 

La réserve naturelle est l’un des derniers linéaires de berge non urbanisé. Elle constitue une zone de refuge pour de nombreux oiseaux. Certains comme le fuligule morillon, trouvent des conditions favorables pour passer la mauvaise saison. D'autres s'installent à l'année et se reproduisent au printemps dans les roselières. C'est le cas du grèbe huppé.
La partie terrestre accueille des passereaux nicheurs comme la rousserolle effarvatte.
Côté mammifères, l'espèce la plus remarquable est le castor d'Europe, réintroduit sur l'Eau Morte en 1972. Plusieurs familles sont aujourd'hui bien installées dans la réserve.
Enfin, reptiles, amphibiens, papillons et libellules contribuent à la diversité de cet espace préservé.
La réserve naturelle est l’un des derniers linéaires de berge non urbanisé. Elle constitue une zone de refuge pour de nombreux oiseaux. Certains comme le fuligule morillon, trouvent des conditions favorables pour passer la mauvaise saison. D'autres s'installent à l'année et se reproduisent au printemps dans les roselières. C'est le cas du grèbe huppé.
La partie terrestre accueille des passereaux nicheurs comme la rousserolle effarvatte.
Côté mammifères, l'espèce la plus remarquable est le castor d'Europe, réintroduit sur l'Eau Morte en 1972. Plusieurs familles sont aujourd'hui bien installées dans la réserve.
Enfin, reptiles, amphibiens, papillons et libellules contribuent à la diversité de cet espace préservé.
À l'image de la faune, la flore est tout aussi diversifiée. Les prairies humides recèlent notamment des espèces rares comme les orchidées : orchis militaire, épipactis des marais.
La réserve naturelle est l’un des derniers linéaires de berge non urbanisé. Elle constitue une zone de refuge pour de nombreux oiseaux. Certains comme le fuligule morillon, trouvent des conditions favorables pour passer la mauvaise saison. D'autres s'installent à l'année et se reproduisent au printemps dans les roselières. C'est le cas du grèbe huppé.
La partie terrestre accueille des passereaux nicheurs comme la rousserolle effarvatte.
Côté mammifères, l'espèce la plus remarquable est le castor d'Europe, réintroduit sur l'Eau Morte en 1972. Plusieurs familles sont aujourd'hui bien installées dans la réserve.
Enfin, reptiles, amphibiens, papillons et libellules contribuent à la diversité de cet espace préservé.
À l'image de la faune, la flore est tout aussi diversifiée. Les prairies humides recèlent notamment des espèces rares comme les orchidées : orchis militaire, épipactis des marais.


La réserve naturelle est l’un des derniers linéaires de berge non urbanisé. Elle constitue une zone de refuge pour de nombreux oiseaux. Certains comme le fuligule morillon, trouvent des conditions favorables pour passer la mauvaise saison. D'autres s'installent à l'année et se reproduisent au printemps dans les roselières. C'est le cas du grèbe huppé.
La partie terrestre accueille des passereaux nicheurs comme la rousserolle effarvatte.
Côté mammifères, l'espèce la plus remarquable est le castor d'Europe, réintroduit sur l'Eau Morte en 1972. Plusieurs familles sont aujourd'hui bien installées dans la réserve.
Enfin, reptiles, amphibiens, papillons et libellules contribuent à la diversité de cet espace préservé.

 

 
La faune du bout du Lac


Après avoir traversé un sous-bois très agréable en été grâce à sa fraîcheur. Vous marchez dans une prairie sur un sentier. Quand vous pouvez voir un pont en bois suspendu sur votre gauche, soit vous continuez tout droit pour rejoindre les passerelles en bois qui vous permettent de traverser la roselière jusqu’au lac, soit vous tournez à droite pour rejoindre un petit sentier fait de traverses de chemin de fer qui vous conduira à faire une jolie boucle et vous évite de revenir par le même itinéraire.

 

Le long du lac d'Annecy

Qu'est ce qu'est la "réserve du bout du lac" ?

Située tout au sud du lac d’Annecy, « au bout du lac », sur la  commune de Doussard, la Réserve Naturelle du Bout du Lac s’étend sur 90 hectares d’une zone alluviale post-glaciaire formée par l’Ire et l’Eau Morte, issues des massifs dominants le lac au sud.

Sa création remonte au 26 décembre 1974, la même année où une seconde réserve -celle des Aiguilles Rouges à Chamonix- voyait le jour. Avec ses 90 hectares, la Réserve du Bout du Lac est l’une des 3 plus petites réserves avec celle du Roc de Chère (Talloires) et de la Dranse (Publier) en Haute-Savoie.

Vers les années 1970, de nombreuses menaces pesaient sur cette zone alors convoitée par la commune pour être transformée en une Marina qui aurait détruit la quasi-totalité du site. C’est pour empêcher la disparition de cette zone unique au bord du lac qu’un projet de réserve sera élaboré par la Direction Départementale de l’Agriculture, le décret de protection sera signé par l’Etat le 26 décembre 1974.

La Réserve du Bout du Lac, c’est une vaste zone humide naturelle cernée de milieux artificialisés, comprenant de nombreux biotopes déterminés par le niveau de la nappe phréatique : roselières lacustres, roselières terrestres plus ou moins envahies de buissons de saules, prairies hygrophiles à laîches, prairies humides encore fauchées par un agriculteur et, tout au sud...

Le sentier pédagogique du bout du lac



Ce sentier pédagogique illustre divers aspects de l'histoire de la réserve naturelle. La tour médiévale de Beauvivier, menacée d'effondrement, a été restaurée et transformée en observatoire.

La réserve naturelle du Bout du Lac est, depuis mai 2010, accessible au public handicapé grâce à un sentier traversant une partie du site sur 1,6 km.
Ce sentier permet l’accueil du public handicapé en visite libre ou en visite guidée.
Des animateurs d’Asters peuvent intervenir pour mettre en place des sorties sur site pour les groupes de personnes handicapées ou groupes de personnes...

Dernière grande zone humide des bords du lac d'Annecy, la réserve naturelle du Bout du Lac est aussi un remarquable témoin de l'évolution des milieux depuis 20 000 ans et la naissance du lac d'Annecy. Elle dispose d’un sentier accessible à tous. 
Animaux refusés Réserve Naturelle  PNR Bauges

Le lac d'Annecy

Le lac est apparu il y a environ trente mille ans vers la fin de la 4e période glaciaire, dite glaciation de Würm, pendant longtemps le niveau du lac était plus bas de 5 à 7 mètres. Une sorte de trottoir, surnommé « la baleine », fait le tour du lac sauf sous le roc de Chère qui plonge directement à 40 mètres sous le niveau de l'eau.

Le lac d'Annecy possède plusieurs exemples d'anciennes cités lacustres, villages préhistoriques du Néolithique et de l'âge du bronze final, implantés tout autour du lac (à Annecy-le-Vieux, Annecy, Sevrier, Saint-Jorioz, Talloiresetc.). Parmi les sites, les plus importants tels que celui situé au large du Pâquier (Annecy), regroupant plusieurs dizaines de pilotis sur une superficie d'environ 1 200 m2, un deuxième situé près de l'île aux Cygnes (Annecy), au large du Pâquier, à environ 200 mètres du rivage, regroupe plusieurs dizaines de pilotis dispersés à faible profondeur (1,80 mètre) sur environ 1 200 m2.

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