LES FOUILLES ARCHEOLOGIQUES DE JAVOLS (Lozère - 48)
08 mai 2014PRÉSENTATION DU VILLAGE ET DU SITE ARCHÉOLOGIQUE
Javols s'est appelée autrefois Anderitum. C'était la capitale gallo-romaine d'une tribu gauloise : les Gabales. Ils ont donné leur nom à Javols et à son pays le Gévaudan. Le nom d'Anderitum signifiait « sur le gué », ou « près du gué ». C'est à la fin de l'Antiquité que le nom de la ville « ad gabalum » apparaît (et qui deviendra Gabouls en langue d'oc plus tard) ce qui signifiait que la ville était encore alors la capitale des Gabales. Ce phénomène est assez fréquent en Gaule romaine.
Anderitum était à l'époque une étape de la voie romaine, qui se dirigeait vers Segodunum, à travers l'Aubrac, en passant par la station romaine dite Ad Silanum et par Saint-Côme d'Olt. Cette petite métropole pouvait comprendre, à la fin du IIe siècle entre 5 000 et 10 000 habitants.
MAIRIE DE JAVOLS
Javols
48130 Peyre en Aubrac
Tél. 04 66 42 84 06
SITE WEB
OFFICE DE TOURISME
Place de L'Église, Arvieu
La ville d’Anderitum a été construite peu de temps après la conquête des Gaules par César.
Dans la partie basse du Triboulin, une ville bâtie à la romaine est bien protégée par les sédiments du fond de vallon. Elle est dotée d’un forum, de bâtiments publics d’administration et de justice, d’un bâtiment de spectacle et de deux établissements de bains (thermes). Seuls les temples restent à ce jour inconnus.
La ville d’Anderitum atteint son apogée (40 ha) au IIᵉ siècle, grâce à la paix et à la dynamique économique de l’empire romain. Bien qu’elle perde peu à peu son statut de capitale au haut Moyen Âge au profit de Mende, la ville reste le chef-lieu des Gabales, « ad Gabalos », jusqu’au VIIᵉ siècle.Le musée est accessible aux personnes à mobilité réduite accompagnées. L’entrée se fait depuis la rue au moyen d’une pente. L’accès à l’étage se fait par l’extérieur au moyen d’un accès sablonneux qui nécessite un accompagnant.
La visite du musée est accessible, depuis 2012, au public déficient visuel. Il est possible de découvrir le musée et l’histoire du site au moyen d’un audio guide qu’il ne faut pas hésiter à demander à l’accueil ainsi qu’un carnet de dessins en relief et couleurs contrastées. Notre personnel est à votre disposition pour vous accompagner.
Je n'ai pas pu obtenir beaucoup de résultats sur cette église. Le peu trouvé l'a été sur un site internet, le site de MFR
Église consacrée en 1895. L'église médiévale ayant été démontée et son emplacement se trouvant actuellement sous la fontaine de la place. (L'église primitive était mentionnée dans le testament d'Aldebert II, évêque de Mende, en 1109.)
La Bête du Gévaudan (la Bèstia de Gavaudan en occitan) est le surnom attribué à un ou plusieurs canidé(s) à l'origine d'une série d'attaques contre des humains, survenues entre le 30 juin 1764 et le 19 juin 1767. Ces attaques, le plus souvent mortelles, entre 88 et 124 recensées selon les sources, eurent lieu surtout dans le nord de l'ancien pays du Gévaudan (qui correspond globalement au département de la Lozère), région d'élevage. Quelques cas ont été signalés dans le sud de l'Auvergne, le nord du ...
Les films tirés de cette légende
- « La bête du Gévaudan », de 1967, est un téléfilm réalisé par Yves André Hubert
- « Le pacte des loups », de 2001, est un film réalisé par Christophe Gans
- « La bête du Gévaudan » de 2003, est un autre téléfilm réalisé par Patrick Volson
Jeanne Jouve voit sa fille de 9 ans, qui tient dans ses bras son plus jeune frère, se faire attaquer par la bête. Jeanne se jette alors sur elle et parvient à lui faire lâcher prise, mais elle revient à la charge et tente de s’en prendre au plus jeune des enfants : la mère s’interpose.
La bête se jette sur le petit Jean-Pierre, autre frère de 6 ans, l’attrape au bras et l’emporte. La mère lui saute dessus. S’ensuit alors un long combat où Jeanne se retrouve poussée au sol, griffée et mordue à plusieurs reprises. Finalement la Bête, qui tient toujours Jean-Pierre, parvient à s’échapper, mais elle se retrouve face aux deux plus grands enfants, qui se préparaient à emmener le troupeau aux pâtures, ils parviennent à libérer leur jeune frère et à faire fuir la Bête. Jean-Pierre succombe cependant à ses blessures quelques heures plus tard.
Les extraits de textes et les images proviennent du site :
GÉVAUDAN AUTHENTIQUE
Une vidéo magnifique qui vous permettra d'assister à la visite du parc. Vous y découvrirez des loup comme si ces derniers était dans votre salon.
Chazelle, burons, clochers de tourmente, lavoirs... la Lozère possède un véritable petit patrimoine qui fait partie de l'identité du département.
La Lozère est riche de son patrimoine culturel avec ses édifices religieux, musées, écomusées, sites archéologiques, cités médiévales et châteaux, mais il existe aussi des bâtisses moins connues qui font le charme de ce département rural. Capitelles, ferradous ou accols, la culture lozérienne possède également son propre lexique. Au cœur de son petit patrimoine, l'authenticité régnera comme mot d'ordre pour une balade riche en histoire.
Le petit patrimoine de Lozère étoile tout notre territoire. Isabelle Darnas, directrice de l'Enseignement, des Sports et de la Culture au Département...
SAINTE-ENIMIE
Accrochée au flanc du causse de Sauveterre, sur l'un des passages les plus resserrés des profondes gorges du Tarn, Sainte-Enimie fait partie des plus beaux villages de France.
Une visite à ne pas manquer si vous êtes de passage dans la Lozère. Les paysages alentours sont aussi à découvrir.
MARVEJOLS
Marvejols est une ville médiévale attrayante qui a eu une histoire mouvementée et dramatique au cours de la guerre de Cent Ans et les guerres de religion, donc une grande partie de la ville on voir aujourd’hui a été construite autour de 1601, après la ville d'origine a été brûlé et la plupart de la population massacrée au cours des guerres de Religion.
AUMONT-AUBRAC
La ville n'a pas beaucoup de monuments importants à voir, mais il y a un petit centre médiéval avec quelques maisons du 16e siècle pour voir, y compris quelques sculptures intéressantes dans le maçonnerie, qui est agréable à explorer.
Parmi les bâtiments d'intérêt est le bel maison qui abrite aujourd'hui l'office du tourisme d'Aumont-Aubrac, l'ancienne Maison de Prieuré.