LUXEUIL (Haute-Saône - 70)
18 juin 2024À PROPOS DE LUXEUIL
La cité est connue dès l'époque celtique grâce aux sources d'eaux chaudes. Les thermes ont permis l'installation et le développement de la vie artisanale sur le territoire de Luxeuil. À la fin de l'Antiquité, Luxeuil voit se développer un fort épisode spirituel et intellectuel par Colomban de Luxeuil, qui a évangélisé la ville et la région. Lors de la Renaissance, la ville se dote d'un riche patrimoine architectural et ornemental, encore visible aujourd'hui.
Durant l'époque contemporaine, le thermalisme se développe considérablement. Les thermes et les eaux de Luxeuil-les-Bains sont alors renommés nationalement. La ville est également connue pour sa base aérienne 116 et son tissu d'entreprises dynamiques et de pointe.
Dotée de tous les équipements nécessaires à une vie paisible et épanouie : offre de logement variée, écoles, collèges, lycée, crèches, salle de spectacle, cinéma, équipements sportifs de qualité, tissu associatif dynamique et site du Groupe Hospitalier de la Haute-Saône, Luxeuil-les-Bains est une véritable "Ville à vivre".
Comment découvrir Luxeuil et ses alentours
OFFICE DU TOURISME
30 rue Victor Genoux
70300 Luxeuil-les-Bains
Tél. 03 84 40 06 41
SITE INTERNET
HÔTEL DE VILLE
1, place saint Pierre
73300 Luxeuil-les-Bains
Tél. 03 84 93 90 00
SITE INTERNET
Cette belle pierre tombale datée du 18 septembre 1854, sculptée par Alexandre Hayotte, évoque une merveilleuse histoire de fidélité animale.
L’abbé Noël la rapporte ici, telle que les anciens du village lui ont racontée lorsqu’il était enfant.
Veuf, le maître du chien est bûcheron. Son petit compagnon le suit dans tous ses déplacements au cœur de la forêt et partage le repas du midi avec son maître.
Un jour, peu après celui-ci, le chien, seul, arrive chez le fils de son maître qui est sabotier, en poussant des aboiements plaintifs afin de lui faire comprendre qu’il vient d’arriver un malheur à son père.
La cité est connue dès l'époque celtique grâce aux sources d'eaux chaudes. Les thermes ont permis l'installation et le développement de la vie artisanale sur le territoire de Luxeuil. À la fin de l'Antiquité, Luxeuil voit se développer un fort épisode spirituel et intellectuel par Colomban de Luxeuil, qui a évangélisé la ville et la région. Lors de la Renaissance, la ville est dotée d'un riche patrimoine architectural et ornemental. Durant l'époque contemporaine, le thermalisme…
Hugues de Faucogney commence sa construction en 1215 sur les fondations d'un édifice précédent du XIe siècle incendié en 1201 par Richard de Montbéliard, elle est achevée sous l'autorité de l'abbé Eudes de Charenton en 1330 pour être consacrée à Saint-Pierre et Saint-Paul.
Abbatiale du monastère de Luxeuil jusqu'en 1790, elle est aujourd'hui église paroissiale de la ville, non sans avoir servi précédemment et successivement à la fermeture de l'Abbaye de temple de la Raison.
Construite au milieu du XVe siècle, la Tour des Échevins est l'ancien hôtel de ville de Luxeuil. Ce vaste édifice rectangulaire s'élève sur quatre étages, s'ouvrant sur un bel escalier en vis. Ainsi, 146 marches sont à gravir pour entrevoir un panorama extraordinaire sur les Vosges et les Alpes. Ce bâtiment abrite le musée municipal d'art et d'archéologie.
Ouverture du musée intérieur en juillet/août : jeudi, vendredi, samedi, dimanche et lundi de 14 h à 18 h. Fermé les mardis et mercredis.
Reconstruite majoritaire-ment au XVIIe siècle, l’ancienne abbaye bénédictine devenue petit séminaire après la Révolution est occupée aujourd’hui par une maison d’accueil (centre pastoral et culturel) et un collège catholique (le collège Saint-Colomban), cependant que l’ancienne église abbatiale est devenue paroissiale. L’architecture, toute imprégnée de prière, de travail intellectuel, offre un cadre idéal pour la réflexion, le silence, le ressourcement. L’abbaye de Luxeuil matérialise le souvenir de la figure emblématique que fut saint Colomban, moine venu d’Irlande à la fin du 6ᵉ siècle, issu de l’héroïque lignée des grands saints qui ont « fait » l’Europe… Elle nous invite donc encore aujourd’hui à nous ouvrir à l’Europe des hommes, des idées et des cultures… Les guerres et les invasions successives n’ont permis de conserver que quelques bâtiments antérieurs au XVIIe siècle…
La basilique est dotée d’un Grand Orgue sous le règne de l’abbé Antoine de la Baume (1601 - 1622). D’après un historien de l’Abbaye, “il aimait fort la musique, parce que, comme il le disait, elle soutenait sa dévotion. Pour cela, il donna un grand corps d’orgues en plusieurs jeux, que les connaisseurs disent n’avoir pas son pareil”. À l’époque, le grand corps comportait trois tourelles (la partie centrale actuelle) et le Positif (partie en avant de la tribune et réplique du grand buffet avec la plus grande tourelle au centre). Les tourelles sont…
Aujourd'hui : truite au vin du Jura
- 4 truites fario de 250 g
- 200 g de beurre
- 30 cl de crème fraîche
- 2 échalotes
- 40 cl de vin blanc du Jura (Savagnin, Chardonnay...)
Vider et nettoyer soigneusement les truites. Saler et poivrer l'intérieur.
Tremper chaque truite dans le lait, l'égoutter puis la passer dans la farine. Secouer afin d'ôter l'excédent de farine.
Faire chauffer une poêle à feu vif, y ajouter un tiers du beurre et un peu d'huile.
Dès que le beurre est fondu, déposer les truites dans la poêle, les laisser cuire quelques secondes, ensuite les retourner. Les cuire ensuite trois minutes sur chaque côté.
Préchauffer le four th. 6 (180 °C).
Beurrer un plat allant au four.
Ciseler les échalotes et disposer celles-ci au fond du plat. Coucher les truites sur cette couche d'échalotes.
Arroser avec le vin et faire cuire pendant 10 min th. 6 (180 °C).
Dès la sortie du four, ajouter la crème et servir.