À PROPOS DU VILLAGE DE KAYSERSBERG


Située à l'ouest de Colmar, la vallée de Kaysersberg est l'un des endroits les plus distinctifs d'Alsace, plein de vignobles et de villages pittoresques tels qu'Ammerschwihr, Kientzheim, Kaysersberg, Katzenthal ou Sigolsheim .... En été, les randonneurs et les cyclistes de montagne se précipitent vers cette vallée d'où les bosquets de marrons descendent de la montagne et les forêts et les lignes douces de l'herbe de montagne offrent un somptueux paysage bucolique. Plus loin dans la vallée, une succession de hameaux autour d'Orbey, Labaroche, Fréland, Lapoutroie et Le Bonhomme, entre 1300 et 2900 pieds (400 à 900 mètres) d'altitude. C'est cette alchimie étonnante de ces deux terroirs qui donnent à ces lieux leur personnalité et leur atmosphère unique avec ces petites banlieues d'aspect médiéval, toutes situées au cœur du Parc naturel régional des Ballons des Vosges. protégée de tout l'ouest de la France. Au début du XIIe siècle, les seigneurs d'Amboise prennent le contrôle complet de la ville et de toutes ses forteresses.

Se diriger dans le village
Situation localeHÔTEL DE VILLE
39 Rue du Général de Gaulle
68240 Kaysersberg
Tél.  03 89 78 11 11
SITE WEB


Situation nationaleOFFICE DE TOURISME
39 Rue du Général de Gaulle
68240 Kaysersberg
Tél.  03 89 78 22 78
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Le conte du casse-noisette (Pour les enfants)
C'est le soir de Noël, chez Franz et Marie. Ils attendent la visite de leur oncle Drosselmeyer. Il est horloger et leur apporte souvent de bien étranges jouets qu'il fabrique lui-même. Il raconte aussi de fabuleuses histoires.
Le voilà qui arrive ce soir-là avec trois nouveaux incroyables petits automates et, il sort de sa poche, une sorte de poupée en bois, droit comme un petit soldat, avec une grande bouche qui sert de casse-noisette, tout simple. Les enfants regardent ces nouveautés et Marie prend le casse-noisette pour voir de près comment il fonctionne. Franz veut à son tour s'en emparer. Il tire dessus, Marie ne le lâche pas et, ce qui devait arriver, arriva, le casse-noisette se…
 
L'histoire de Kaysersberg
Par sa position stratégique qui permet le contrôle du transit entre la Haute Alsace et la Lorraine (par le Col du Bonhomme), la vallée de Kaysersberg a été occupée par des militaires dès l'époque Romaine. Au début du XIIIᵉ siècle (vers 1218), la forteresse est construite. C'est le début de l'époque prospère de la ville, sous le contrôle de la famille des Hohenstaufen. Kaysersberg devient ville impériale du Saint Empire en 1293.

Au XIVᵉ et XVᵉ siècle, la ville prospère grâce à l'attribution de nombreux privilèges tels que le droit d'avoir un marché hebdomadaire et une foire annuelle. La ville fait partie de la Décapole (alliance mutuelle de…


Le village de Kaysersberg.
Le pont fortifié
La ville de Kaysersberg est traversée en son centre par la Weiss, une rivière longue de 24 km. Pour relier la vieille ville à la haute ville, coupée par cette rivière, une première construction en bois fut construite. En 1514, un pont en pierre fortifié fut cette fois-ci construit, afin de prévenir toute incursion ennemie par la rivière.

Le pont fut ainsi muni de part et d’autre de meurtrières et de parapets percés d’archers et de canonnières. Au milieu du pont, on peut également trouver un édicule (petite chapelle), qui abrite une statue polychrome de la Vierge à l’Enfant. Avant que la statue y prenne place, on y enfermait les habitants responsables de délits mineurs, faisant ainsi d’eux la risée de la ville.




À seulement 10 minutes de Colmar, c’est l’endroit idéal pour se dépayser entre vignoble et montagne. Parcourez la Route des Vins avec ses villages typiques et ses châteaux, puis respirez la montagne en profitant de panoramas à couper le souffle. 

L'église sainte Croix
Elle est située à côté de l'hôtel de ville. Sa construction s'est faite par étape du XIIᵉ au XVᵉ siècle. Le portail roman, encadré de colonnes avec des chapiteaux à décors variés (animaux et végétaux), présente un beau tympan représentant le couronnement de la Vierge (l'artiste se serait représenté dans le coin gauche).

À l'intérieur, un superbe Christ en croix, monumental (4,10 mètres), daté du XVIᵉ siècle, placé sur la poutre de gloire, accueille les visiteurs.

Derrière, dans le chœur, un imposant retable en bois sculpté retrace la passion et la résurrection du Christ.

L'hôtel de ville
L'hôtel de ville a été construit en 1604 par le charpentier, dit aussi Werkmeister, Dominique Haecher, pour servir de centre administratif et judiciaire. Du décor des salles du 1er étage, subsistent les portes marquetées, datées de 1605. La dalle datée de 1604, qui se trouvait sur l'oriel a été déplacée dans le hall du rez-de-chaussée en 1848. Elle porte les armoiries bûchées de la ville et de l'Empire ainsi qu'une inscription commémorative en allemand. En 1715, un nouvel escalier fut mis en place. Une restauration importante eut lieu en 1727, attestée par une inscription sur claveau d'arc. Lors de la restauration de 1844 à 1848, par Bleicher, les lambris de la salle du conseil furent remplacées et les dalles armoriées actuelles de l'oriel et de la tourelle d'escalier furent mises en place. En 1897, l'ancien puits fut remplacé par l'actuel, daté de 1521, provenant de la rue Principale.

De la restauration de 1926, par Schoffit, subsistent les vitraux armoriés par Bartholomé et les peintures murales de la salle de justice et de la tourelle d'escalier, par Ad. Zilly de Strasbourg, copie de celles de 1618, par Matthias Wuest, de la maison, 54 rue du Général-de-Gaulle. Après un incendie dans la salle du conseil, en 1929…

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