Une petite randonnée sympathique, sans difficultés particulières qui vous permettra de découvrir le paysage situé sur l'arrière de l'aérodrome de Coulommiers-Voisins.
Attention cependant, couvrez-vous la tête par période ensoleillée, car il y a peu d'ombre, dommage.
La campagne est belle dans cette région comprise entre les vallées du Grand et du Petit Morin. Profitez des paysages et des sites rencontrés sur le parcours. 


 

L'origine de Giremoutiers remonterait au VIIe siècle. Saint Géroche, confesseur de sainte Fare, se serait retiré sur le territoire de Giremoutiers pour y fonder un ermitage isolé dans la forêt de Brie. Bien que cette origine soit probablement légendaire, l'étymologie de Giremoutiers semble tout de même indiquer qu'il y ait eu une fondation mérovingienne.

 

Situation nationale (clic)

 

Situation locale (clic)

RENSEIGNEMENTS UTILES
LA MAIRIE DE GIREMOUTIERS
8, rue de Corbeville
77120 GIREMOUTIERS
Tél.: 01 64 75 10 14
Fax: 01 64 75 10 14
Courriel: giremoutiers@wanadoo.fr
MAIRIE DE MOUROUX
50 place de la Mairie
77120 MOUROUX
Tél.: 01 64 03 64 00
Fax: 01 64 75 18 58
Courriel: mairie-mouroux@wanadoo.fr
Site : http://www.ville-mouroux.fr/

Circuit de Giremoutiers
Balisage : jaune
Longueur : 7,000 Km
Temps : 2h20
Difficulté : facile
Cartes IGN :
Pensez à vous en munir

Description du parcours
S'agissant d'un parcours issu du guide édité par la Fédération Française de Randonnée Pédestre il ne m'est pas possible de vous mettre à disposition le parcours et son descriptif. Ces renseignements sont protégés par la loi sur la propriété intellectuelle.

Vous pouvez trouver toutes les données dans le Topo-guide référence P772 "Le Pays de Coulommiers à pied" édité conjointement par la FFRP et le Conseil Général de Seine-et-Marne.

Vous trouverez tous les renseignements en pages 22 et 23 du topo-guide.
En savoir plus                           En savoir plus sur les données techniques
LE TOURISME A GIREMOUTIERS ET DANS LES ENVIRONS

Un peu d'histoire pour débuter ...
L'origine de Giremoutiers remonterait au VIIe siècle. Saint Géroche, confesseur de sainte Fare, se serait retiré sur le territoire de Giremoutiers pour y fonder un ermitage isolé dans la forêt de Brie. Bien que cette origine soit probablement légendaire, l'étymologie de Giremoutiers semble tout de même indiquer qu'il y ait eu une fondation mérovingienne. Un texte de 1249 mentionne le monastère de Giremoutiers ; il est situé à proximité de l'église paroissiale. Une petite communauté de bénédictins est installée dans le village jusqu'au XIXe siècle et possède des terres dans les hameaux voisins. Des bâtiments du monastère, il reste une maison, dont la partie attenante à l'église s'est effondrée en 1942, et la grange aux dimes, dans laquelle les moines entreposent l'impôt qu'ils prélèvent sur les récoltes. Giremoutiers est aussi un fief qui dépend de la châtellenie de Coulommiers. Au XXe siècle, la commune, située sur le plateau de la Brie, reste agricole. Outre les céréales, des légumes comme les pois et les haricots sont cultivés, ainsi que le lin textile. L'élevage est également pratiqué.

L'église saint Pierre

La date de construction de l'édifice est inconnue. On avance l'hypothèse que l'église aurait été construite au XVe et XVIe siècles. Vers 1825 : restauration de l'édifice, aménagements, telle que la suppression du clocher.
Le portail d'entrée est surmonté d'un oculus. L'ensemble de l'édifice est percé de baies cintrées. La tour-clocher surmontant la façade principale est surmontée d'une croix. La toiture du clocher est en pavillon, celle de l'édifice est à double pente.

 

 

 

  Quelques bâtiments à voir ...


 
Cette ferme, dont les bâtiments s'organisent autour d'une cour carrée, est le site d'un ancien manoir féodal. Les bâtiments d'habitation ont d'ailleurs conservé les murs épais et une rampe intérieure en bois de l'époque médiévale. Selon des sources historiques, le manoir appartient, en 1542, au seigneur Claude de Maulny.
Les dates des constructions de cette église, construite sur un plan rectangulaire, ne sont pas connues. L'hypothèse d'une édification aux XVe et XVIe siècles est avancée. Restaurée une première fois au XVIIe siècle, l'église connait divers aménagements, dont la suppression du clocher vers 1825. La façade extérieure est restaurée à la fin des années 1990. À l'intérieur, l'église se compose d'une nef unique et cintrée, close par une abside carrée.

La commanderie des Templiers
 à Coulommiers
L'église de Mouroux
 

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Les trésors cachés ...
Ce bâton de procession présente une iconographie particulière de la Vierge à l'Enfant. Celle-ci, vêtue d'un long drapé doré et coiffée de tresses, dissimulées sous son voile, tenait probablement un bâton de pèlerin dans sa main droite. Elle porte le Christ sur son bras gauche. L'ensemble est sur un plateau de bois surmonté de quatre arabesques et orné d'une couronne sur laquelle est peinte une étoile.
Cette statue figure, dans un style populaire, le martyre de saint Sébastien. Ce dernier est représenté pieds et poings liés à un arbre. Saint Sébastien, soldat de l'armée romaine, est condamné à être transpercé de flèches par deux soldats, pour avoir soutenu et adopté la foi chrétienne. Survivant à ce premier supplice, il défie l'empereur qui le fait lapider et jeter dans un égout. Le thème du supplice de saint Sébastien est souvent abordé dans l'iconographie chrétienne et populaire.
Cette Vierge à l'Enfant est appelée Vierge à l''illet à cause de la croix ornée d''illets qu'elle tient dans sa main droite. De son bras gauche, elle porte le Christ enfant qui, de sa main droite, joue avec le linge qui l'enveloppe et, de l'autre main, tient le globe, symbole de la création. Des traces de polychromie sont encore visibles sur la statue.
 
Cette sculpture illustre le thème de l'enfance de la Vierge. Marie, au côté de sa mère sainte Anne, étudie les saintes Écritures. Ce thème de l'éducation de la Vierge par saint Anne est récurrent dans l'iconographie chrétienne bien qu'aucun des quatre Évangiles ne mentionne la mère de la Vierge. Elle n'apparait que dans le proto évangile de Jacques, texte apocryphe rédigé au IIe siècle après J.-C.
 

 

 

 

 

 

 

 

 

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