L'établissement Safran Aircraft Engines Villaroche, situé à 50 km de Paris, s'étend sur plus de 80 hectares. Créé en 1947 pour les essais au sol et en vol des moteurs civils et militaires, le site s'est fortement développé et réunit aujourd'hui environ 5000 personnes. L'établissement accueille les divisions Moteurs civils et Moteurs Militaires de Safran Aircraft Engines, la direction Commerciale et la direction Technique, Recherche & Technologie.

L'activité industrielle du site correspond au « dernier acte » du processus de production des moteurs, qui sont assemblés et testés avant d'être livrés aux clients. Villaroche est notamment chargé de l'assemblage complet des moteurs civils CFM56®, LEAP®, Silvercrest®, CF6 ainsi que du turboréacteur militaire M88. Le site est doté d'une ligne d'assemblage pulsée de nouvelle génération qui permet d'assembler deux moteurs CFM56 par jour.

L'atelier de montage réalise également l'assemblage de certains modules du turbopropulseur TP400 et des moteurs SaM146, GE90 et GP7200.

L'ensemble des activités de Villaroche (opérations de montage, projets de recherche avancée, moyens d'essais et de conception de haut niveau) contribue à ancrer le leadership mondial de Safran Aircraft Engines.
Le site accueille également d'autres sociétés du groupe Safran, Hispano-Suiza, Labinal Power Systems, Safran Engineering Services, ainsi que le musée aéronautique et spatial du groupe.

Le site de Villaroche a sa situation sur le hameau de Villaroche mais fait partie de la commune de Réau.

 SITUATION   VOUS GUIDER   L'HISTOIRE DU MUSÉE DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE

 

OFFICE DE TOURISME DE RÉAU 
Mairie Réau 77550
2, route de Villaroche
77550 Réau
Tél. 01 60 60 85 55
SITE WEB

MAIRIE DE RÉAU
2 rue de la Croix des Anges
77 550 Réau
Tél. 01 60 60 85 55
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LES CONTACTS POUR LE MUSÉE
Association des Amis du Musée Safran :
01 60 59 72 58
aams@museesafran.com

Direction du musée Safran
info@museesafran.com
01 60 59 41 66

Une page disponible pour les deux renseignements ci dessus
SITE WEB 

 

En 1979, le Président de Snecma, René Ravaud, avait été alerté sur l'absence dans l'entreprise de références à l'histoire de Snecma pourtant le plus ancien des motoristes d'avions encore en activité. En effet Snecma succédait en 1945 à Gnome et Rhône issu de Gnome créé en 1905, Rolls- Royce, Pratt and Whitney et General Electric présentant  leur histoire à travers l'exposition de l'évolution de leurs moteurs,

Ce sont trois hommes, collaborateurs de Snecma et passionnés par l'histoire de leur entreprise, qui vont être à l'origine de la création du Musée aéronautique et spatial de Safran. Fin 1984, Claude Moussez, directeur du site de production de Villaroche, Guy Dodanthun, directeur financier, et Bernard Girault, chef du département documentation, apprennent que le Musée de l'Air et de l'Espace recherche des bénévoles pour restaurer les      1000 moteurs d'avions de ses collections, construits par différentes sociétés entre le début du XXe siècle et les années 1970.

Le 20 juin 1985, une convention est signée entre le Musée de l'Air et de l'Espace et Snecma, portant sur la restauration des moteurs anciens, en particulier les Gnome, Le Rhône et Gnome et Rhône. L'accord prévoit que sur deux moteurs identiques restaurés, l'un soit remis au Musée de l'Air et l'autre gardé en dépôt par Snecma pour exposition.

LE SITE AÉRONAUTIQUE ET SPATIAL DE VILLAROCHE

Tout d'abord nous allons commencer la démonstration du fonctionnement d'un réacteur d'avion. Les deux principes sont identiques mais le premier est plus simpliste que le second, dans la vidéo de droite vous serez confronté à des termes techniques.
Le fonctionnement est simple lorsqu'on regarde ou lorsqu'on nous explique mais ce n'est pas si évident que cela. Je vous souhaite une belle partie et si vous n'avez pas compris dites le moi je téléphonerai chez le fabricant. 

 

L'avion de Blériot

Le musée de l'aviation, dans sa première partie, vous parlera des hommes et des femmes qui ont donné leur nom à l'aviation, comme Blériot, Antoine de Saint Exupéry, Mermoz, et le premier de ceux-là Clément Ader qui insuffla à l'homme de pousser encore plus loin les limites de la connaissance de pouvoir voler, rêve de tous les hommes.

Antoine de Saint EXUPERY

Pour beaucoup, Antoine de Saint-Exupéry, l’auteur du Petit-Prince, un des ouvrages français les plus lus dans le monde, représente l’alliance parfaite entre écrivain et aventurier. En effet, il n’a jamais vraiment réussi à choisir entre les lettres et les airs. Écrivain de génie, mais également aviateur au pilotage très fin, Antoine de Saint-Exupéry a vécu ses deux métiers comme des passions, et c’est à bord d'un avion qu’il disparaîtra durant la Seconde Guerre Mondiale.

 

 

 

Hélène BOUCHER

Née le 23 mai 1908 à Paris, Hélène Boucher fut une des plus grandes aviatrices françaises et a battu de nombreux records de vitesse.

« Je veux être aviatrice ! »

Longtemps elle chercha sa voie : après quelques essais dans la couture puis au piano, son père, Léon Boucher, architecte réputé, la dirigea vers les Beaux-arts. A seize ans, elle fut admise pour apprendre à conduire une automobile et acquit vite une réelle virtuosité. Elle se destinait à une carrière d’interprète lorsqu’en 1930, un ami de son frère, Jean Hubert, se tua en avion. Elle sut alors ce qu’elle voulait être : aviatrice.

Cette même année, Folcarez lui donne son premier baptême de l’air, le 4 juillet 1930. Elle prit son premier cours de pilotage en Mars 1931, et obtenu son brevet de pilote en juin 1932. A vingt-cinq ans, elle relia en solitaire Paris à Saigon. Brillante, Hélène Boucher bat de nombreux records...

Un clic pour ouvrir l'album photos

 

 LES CELEBRES AVIATEURS ET AVIATRICES

LOUIS BLERIOT

Découvrant l'Éole de Clément Ader, il se lance dans la fabrication d’un premier modèle d'aéroplane :

  • Le Blériot I est un oiseau mécanique à ailes battantes, d'1,50 mètre d'envergure, pesant 10 kg et mû par un moteur léger à acide carbonique de son invention fournissant environ deux chevaux. En janvier 1901, ce modèle s'envole. Cette année 1901 est également marquée par sa rencontre avec Ferdinand Ferber, à qui il voue une sincère admiration.

En 1903, il travaille avec le mécanicien et futur aviateur Julien Mamet, avec qui il préparera la traversée de la Manche, en 190910. Les crashs de plusieurs prototypes lui vaudront le surnom peu flatteur de "Roi des pâquerettes" par la presse de l'époque. Il réalise les appareils suivants :

    • Blériot II. En 1905, découvrant les travaux de Gabriel Voisin par l'entremise de Ferdinand Ferber, Blériot demande à Voisin de lui construire un planeur;
    • Blériot III (Blériot-Voisin I). ils fondent en ce même mois de mai 1905 le premier atelier d'aviation français « Blériot & Voisin » dans lequel Blériot se donne le rôle de concepteur et où Voisin devait jouer celui de mécanicien. Le Blériot III est dépourvu de moteur et fut remorqué sur la Seine par le canot Antoinette. Il capote après s'être brièvement détaché de l'eau à la suite d'un coup de vent.
    • Blériot IV (Blériot-Voisin II). Ayant besoin d'un moteur et grâce à Ferber, il rencontre Léon Levavasseur qui est soutenu financièrement par Gastambile et Mengin. Il le décide à créer une société anonyme de construction de moteurs Antoinette dans laquelle il s'investit financièrement et place son frère Maurice Blériot comme administrateur. Après avoir équipé le précédent modèle d'un moteur Antoinette et ayant cédé à Voisin qui est contre les ailes en ellipses, il construit le Blériot IV, un hydravion qui ne connut pas le succès. Ayant failli périr noyé lors des essais précédents, Gabriel Voisin refusa de nouveaux essais sur la Seine ;
    • Blériot IV bis. C'est le Blériot IV modifié, avec des roues à la place des flotteurs11. Le concepteur essaya sa création le 12 novembre 1906 à Bagatelle. Il brisa son appareil contre une pierre et un caniveau alors que son concurrent brésilien Santos-Dumont réussit un vol de 220 mètres ce même jour au même endroit. C'en est fini de l'association Blériot-Voisin.SAFRAN : MUSEE AERONAUTIQUE ET SPACIAL DE VILLAROCHE (77)

Alberto SANTOS-DUMONT

Né à Palmira, au Brésil, Alberto SANTOS-DUMONT arriva très jeune en France. Celui-ci se fixe à Paris dès 1898 et passera la plus grande partie de sa vie en France. Il est le premier à voler à bord d’un aéronef, équipé d’un moteur à essence qu’il a lui-même confectionné. En 1901, il participe au prix des dirigeables fondé par Henry Deutsch de la Meurthe et remporta le prix qui consistait en un aller-retour entre Saint-Cloud et la Tour Eiffel en 30 minutes. Puis il s’intéresse aux «machines volantes» que Clément Ader, les frères Wright et Otto Lilienthal parviennent en fait à arracher du sol avec beaucoup de difficultés.

 

 

Les pilotes représentent l’humanité de la machine aérienne. Certains d’entre-eux sont devenus célèbres de par leurs exploits dans le monde civil, d’autres furent des aviateurs militaires dotés de dons exceptionnels.

 Et pour clore la visite une petite visite du musée en vidéo.

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