À PROPOS DE LA VILLE CORSAIRE

SAINT-MALO
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station balnéaire connue pour sa ville close et son rapport à la mer, la ville est l'une des plus visitées de Bretagne et attire près de 200 000 touristes en été. Elle est classée première dans le classement des destinations préférées des Européens en France. Fruit d'une riche histoire maritime, elle demeure un port important (plaisance, pêche, commerce et voyageurs) et un centre économique.
Une visite intéressante où il est possible de découvrir le passé impressionnant des gens de mer. Ceux qui ont marqué l'histoire par leurs prouesses maritimes.
Une ville à ne pas manquer sur le parcours de la Bretagne.

Renseignements utiles

Situation nationaleOFFICE DU TOURISME
Esplanade Saint-Vincent
tél. 0825 135 200
télécopie : 02.99.56.67.00
Site internet 


Situation localeHÔTEL DE VILLE
BP 147

35408 Saint-Malo Cedex
Standard : 02 99 40 71 11
Site internet





 

Jeanne Jugan et les petites sœurs des pauvres
 
Une petite maison basse au toit de chaume, au sol de terre battue ; un hameau sur les hauteurs qui dominent la baie de Cancale en Bretagne (France) ; voilà le cadre où naquit Jeanne Jugan le 25 octobre 1792.
1792 : cette date évoque des événements dramatiques. Quelques semaines plus tôt, deux cents prêtres ont été massacrés à Paris parce qu’ils refusaient de prêter le serment exigé par le pouvoir révolutionnaire ; et quelques mois après, le roi Louis XVI sera guillotiné. Déjà, on pressent que l’ouest de la France va se soulever pour défendre ses traditions, et ce sera, pendant sept ou huit ans, une dure guerre civile. Comme.…
La petite histoire de saint-Malo

L'histoire de Saint-Malo remonte à la Protohistoire celtique, où cette région correspond à l'ancien centre maritime du peuple gaulois des Coriosolites, installés à la cité d'Aleth (actuel quartier de Saint-Servan).

Sous l'influence des Romains, la ville de Corseul, dans les terres, se développe aux dépens de la cité d'Aleth, qui reste un port important. À la fin du IIIe siècle, les Romains choisissent de fortifier Aleth, tandis qu'à cette époque, le rocher de Canalch (Canalchius insulae), situé dans la plaine marécageuse formée à l'embouchure de la Rance, qui accueillera la future ville de Saint-Malo est encore inhabité.

Lors du retrait de l'armée (Source Wikipédia)


Le fort National ainsi que la vue sur Saint Malo. Par marée basse, il vous est possible de traverser.
La cathédrale saint Vincent

Avant que Saint-Malo ne devienne siège épiscopal, il existait à l'emplacement de la cathédrale un petit monastère dédié à Saint Malo et dépendant de l'abbaye de Marmoutiers. En 1145, Jean de la Grille, évêque d'Aleth depuis 1144, obtint du pape Eugène III que le siège du diocèse soit transféré à Saint-Malo et l'église monastique devint la cathédrale. Des transformations furent effectuées pour aboutir à une église de taille moyenne, en style roman, constituée d'une nef à trois travées et sans bas-côtés, d'un transept surmonté d'une tour carrée et d'un chœur. Sur le côté Sud étaient adossés un cloître et des bâtiments claustraux abritant un chapitre de chanoines réguliers. Au XIIIe siècle, le chœur fut reconstruit en style gothique par l'évêque Geoffroy de Pontual et une salle capitulaire fut adjointe au côté Sud. 
La cité corsaire

La cité corsaire, elle constitue le joyau de la côte d'émeraude. Son rempart Vauban, pièce maîtresse de la ville, vaisseau de pierre, dévoile tous ses charmes, coté pierres et coté mer.

La richesse du patrimoine bâti ancien malouin reflète les grands temps forts de l’histoire de la ville. On dénombre à Saint-Malo neuf monuments historiques classés qui sont le château, les remparts et la tour Solidor (depuis 1886), le fort National (depuis 1906), la cathédrale Saint-Vincent (depuis 1910), le Petit-Bé (depuis 1921), l’hôtel André Désilles (depuis 1946), l’hôtel de la Gicquelais, maison natale de Chateaubriand (depuis 1964), le fort de la Conchée (depuis 1984), l’hôtel Magon de la Lande (1994) auxquels s’ajoutent 80 édifices inscrits à l’Inventaire supplémentaires dont une soixantaine uniquement intra-muros, la plupart dans le cadre des protections ayant suivi la Seconde Guerre mondiale pour permettre à la cité historique de sauvegarder son authenticité.

Le fort National

Le Fort National est un bastion situé sur une île de Saint-Malo. L'île est accessible à marée basse. Le fort fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis mai 1906, son mur d'enceinte d'un classement en août 19131. Aujourd’hui privé, le fort appartient à une vieille famille bretonne.

Anciennement appelé « Fort Royal » et aussi « Fort Impérial » (durant les années du Premier et du Second Empire), l'actuel Fort National a été construit en 1689 par l’ingénieur Siméon Garangeau d’après les plans de Vauban et sur les ordres du Roi Louis XIV, en même temps que les remparts de Saint-Malo étaient …

 Duguay-Trouin et Surcouf

Ce sont les plus illustres corsaires malouins. Fils d'un riche armateur, Duguay-Trouin (1673-1736) est embarqué à 16 ans sur un navire corsaire pour mettre fin à une jeunesse orageuse. Ses talents sont tels qu'il passe à 24 ans dans le "Grand Corps" de la marine royale, comme capitaine de frégate. Il meurt anobli, lieutenant général et commandeur de Saint-Louis.

Le destin de Surcouf (1773-1827) est bien différent, mais tout aussi brillant. Répondant à l'appel de la mer, il commence très jeune une carrière riche en exploits fabuleux. Négrier, puis corsaire, il ramasse un énorme butin et prend à 36 ans une retraite précoce au cours de laquelle il arme des corsaires, des navires marchands et continue à accroître sa fortune.

Saint-Malo en vidéo
 

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Et toc !

Un officier anglais de la Royal Navy provoque Surcouf en sortant que les Français se battent pour l’argent, alors que les Anglais le font pour l’honneur.

Surcouf lui lance : « C’est vrai, monsieur. Chacun se bat pour ce qu’il n’a pas... »

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Un clic pour ouvrir l'album photosUne promenade riche en points de vue

La haute muraille qui entoure la ville de Saint-Malo forme une boucle d’environ deux kilomètres. Il est possible de descendre et de remonter où bon vous semble depuis les différents escaliers situés à chaque porte.

Nous vous conseillons de commencer la promenade en empruntant la Porte Saint-Thomas, située derrière la place Chateaubriand. Depuis cet accès, vous aurez directement une vue exceptionnelle sur la grande plage du Sillon à votre droite, le Fort National en face et à votre gauche l’îlot du Grand Bé.  La première partie du chemin de ronde vous conduira jusqu’au Fort à la Reine, où à ses pieds explosa la « Machine Infernale », navire anglais chargé de poudre dans le but de détruire Saint-Malo et qui s’est échoué sur les rochers entre le Fort à la Reine et la Tour Bidouane. En regardant à gauche, vous verrez la fameuse rue du Chat qui danse. Chat qui selon l’histoire a été l’unique…

 
 
 
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