Au coeur de la Vallée de la Dordogne, à mi-chemin entre Rocamadour et Sarlat, à proximité de multiples grottes, châteaux, musées et des "plus beaux villages de France", Souillac sur Dordogne vous ouvre les Portes du Midi.Ville de contrastes, entre rivière et vieilles pierres, découvrez toutes ses facettes, laissez vos sens vous guider.

Contemplez son abbatiale, son Beffroi, ses vieilles ruelles chargées d'histoire, ses sept viaducs....Ecoutez, le murmure de la rivière Dordogne. Respirez, vous êtes en pleine nature, humez les parfums de la nature préservée. Dégustez, les saveurs d'une gastronomie issue de notre terroir. Visitez le musée de l'Automate, de la Vieille Prune... Participez aux diverses animations. (Extrait du site de la ville de Souillac)

LA SITUATION DE SOUILLAC   POUR LA PETITE HISTOIRE   TOUS LES RENSEIGNEMENTS UTILES

Situation nationale

Situation locale

  Il est un cours d’eau nommé l’Antouy, aux confins de l’Aveyron et du Lot, qui témoigne d’un épouvantable drame que pourrait bien expliquer l’apparition d’un mystérieux gouffre, révélée par une légende transmise par lous anciens du Rouergue et du Quercy...

La frontière nord-ouest du département de l’Aveyron se brise selon un angle droit formé par la rencontre du Lot et d’un petit cours d’eau nommé l’Antouy. Le ruisselet, à trois quarts de lieue de son embouchure, sort d’un gouffre aux eaux d’un vert bleuâtre dont le niveau, à peu près en tout temps, atteint le ras du sol. Sur le versant du causse s’échelonnent de rares chênes tordus, brûlés et rabougris, quelques pans de murailles écroulées et les débris de deux ou trois tours subsistent au bord même du gouffre.

Là existait en l’an 1122, au temps de Louis le Jeune — la contrée était alors, dit-on, fertile —, un monastère appartenant aux Bénédictins de l’ordre de Cluny. Une légende se rattache au souvenir de ce monastère. Nous avons réussi à en retrouver la donnée. Par malheur, le récit même dans sa forme orale émanée du sentiment populaire, la poésie en prose, qui, si l’on en juge par analogie, était formulée, cadencée, parfois assonancée comme le vers, qui, affectant des tournures naïvement recherchés, répétait ...

 

 

OFFICE DE TOURISME DE LA VALLEE DE LA DORDOGNE
Boulevard Louis Jean Malvy
46200 Souillac
Tél. 05 65 33 22 00
SITE INTERNET 

MAIRIE
5, avenue de Sarlat
46200 SOUILLAC
Tel. 05.65.32.71.00
SITE INTERNET 

Le récit ci contre est issu du site "La France pittoresque"

L'histoire de Souillac

Découvrir un espace nouveau, c'est entrer dans un lieu chargé d'inconnu. On peut avoir peur de l'inconnu car, dépourvu de ses repères habituels, le visiteur semble égaré, parfois perdu. Mais on peut aussi avoir soif d'inconnu et écouter ce que disent les vieilles pierres, ce que suggèrent les noms des rues. Ce sont des murmures qui racontent la relation intime qui s'est nouée entre l'homme et un paysage qu'il a créé, dont il est l'habitant mais par lequel il est aussi habité. Ainsi l'histoire naît de la géographie d'un lieu.

L'abbatiale Sainte-Marie

Chef d’oeuvre de l’art romano-byzantin du Haut Quercy, l’abbatiale Sainte Marie trouve ses origines dans un petit monastère bénédictin du X° siècle. Les XI° et XII° siècles furent une période de prospérité et de rayonnement pour la communauté bénédictine installée à Souillac : plus de 80 églises et prieurés y seront alors rattachés. Entre 1145-1150, l’achèvement de la construction à triple coupoles, inspirée par Sainte Sofia à Constantinople, en fait un des plus beaux ensembles du Sud-Ouest et de l’art roman, avec son chevet à 5 absidioles, la belle envolée des 3 coupoles, l’ampleur du choeur, la grande harmonie des proportions. L’église abbatiale souffrit beaucoup lors de la Guerre de Cent Ans, puis des guerres de Religion dans la seconde moitié du XVI° siècle, époque à laquelle son splendide portail fut déplacé à l’intérieur de l’église pour le protéger. Ce portail représente la légende du moine Théophile et le sacrifice d’Isaac, mais il comprend surtout le pilier avec l’une des rares représentations du prophète Isaïe, considéré comme un des joyaux de la sculpture romane, et qu’André Malraux contempla pendant des heures lors de sa visite à Souillac. Cette abbatiale, classée Monument Historique en 1840, abrite aussi un orgue Stoltz, également classé en 1855, ainsi que le tableau religieux le plus important de Chassériau “Le Christ au Jardin des Oliviers” (1844), offert à l’église par le ...



Ci-dessous la photo panoramique de l'abbatiale Saint-Marie, remarquez l'ensemble de la nef à droite.

 

L'église Saint-Martin et son beffroi

L'église Saint-Martin a été l'église paroissiale de Souillac jusqu'à la Révolution. On ne sait rien de l'église romane dont provient sans doute le tympan sculpté, datable du milieu du 12e siècle, en remploi dans le portail ouest. L'édifice a été entièrement reconstruit à la fin du 15e siècle ou au début du 16e siècle. Après les dommages subis pendant les guerres de Religion, la nef est réparée au 17e siècle, mais la tour-clocher est laissée à l'état de ruines. Désaffectée en 1829, l'église a connu différentes réutilisations au cours des 19e et 20e siècles. L'abside a été détruite et remplacée par un bâtiment tourné vers le boulevard. Après 1985, l'édifice a été restauré pour l'Office du tourisme et la nef de l'église sert aujourd'hui de salle d'exposition. 

 La halle de Souillac

Un clic pour agrandir la photo panoramique de l'abbatiale Sainte-Marie

  Voir l'album photos
Située dans la vallée de la Dordogne, dans le Haut Quercy et non loin du Périgord noir, la petite ville de Souillac est réputée pour son église abbatiale Sainte-Marie de style romano-byzantin. Cet ouvrage du XIIe siècle possède un superbe chevet ainsi qu'un magnifique portail sculpté. Le beffroi qui domine la vieille ville pittoresque est un vestige de l'ancienne église Saint-Martin
 
 
Retour à l'accueil