VILLARD-DE-LANS, SES MONTAGNES, SA NATURE... (Isère - 38)
07 mai 2016L'ISÈRE, UNE RÉGION QU'IL FAUT VOIR
Située à moins de 30 minutes de route de Grenoble, sur le plateau du Vercors, la station de ski de Villard de Lans s’articule autour de son bourg (4 000 habitants) animé en toute saison… De nombreux petits hameaux environnants (les Clots, l'Essarton, les Chaberts...) et de deux pôles d’hébergements implantés en pied de pistes : Le Balcon de Villard et Les Glovettes.
C’est de là que skieurs et snowboardeurs empruntent les télécabines de Côte 2000 et du Pré des Preys. Ils rejoignent les pistes de ski de l’Espace Villard-Corrençon (domaine commun entre les deux stations voisines que sont Villard de Lans et Corrençon en Vercors). Avec 125 km de pistes de ski alpin tracés entre les forêts de sapins (côté Villard de Lans) et de pins (côté Corrençon) sur près de 1000 mètres de dénivelé.Il s’agit ni plus ni moins que du plus vaste domaine skiable du Vercors (le 3ᵉ à l’échelle de l’ensemble du département de l’Isère).
Une balade non seulement dans la ville, mais dans les montagnes environnantes. De magnifiques points de vue, des paysages à couper le souffle.
Cette promenade n'est pas une randonnée, elle regroupe toutes les balades, promenades que nous avons faite.
OFFICE DE VILLARD DE LANS
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38250 Villard-de-Lans
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MAIRIE
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38250 Villard-de-Lans
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En ce temps-là, l’Ours « Gaston » régnait sur la forêt de la Loubière
Il était si grand et si fort qu’il ne craignait personne. L’hiver il s’endormait paisiblement à l’abri de la grotte de la Cheminée, dissimulée dans la plaine d’Herbouilly. Les trois fées pipelettes, Agathe, Sophie et Cochette, l’aimaient beaucoup et ne trouvaient pas drôle de se passer de sa présence pendant de longs mois. Elles décidèrent donc d’utiliser leur pouvoir et d’un coup de baguette magique elles le sortirent du royaume des songes pour profiter de sa rieuse compagnie. Ils jouèrent tant et plus dans les combes enneigées que de glissades en roulades joyeuses, leur course les mena tout droit sur la place du village. Intrigués puis rassurés par la gentillesse de « Gaston », les habitants l’adoptèrent rapidement.
La Révolution fran-çaise, dont les prémices ont été ressenties très tôt dans le Dauphiné, comme en témoigne la célèbre journée des Tuiles. Séries d'émeu-tes survenues à Gre-noble le 7 juin 1788, puis la Réunion des états généraux du Dauphiné organisée le 21 juillet de la même année, est suivie avec enthousiasme par les Villardiens.
Le roi Louis XVI convoque, dès lors, l'Assemblée provinciale du Dauphiné (créée par Necker en 1789). Celle-ci est composée de trente membres du clergé, soixante de la noblesse et quatre-vingt-dix du Tiers État. Parmi ces derniers, vingt-et-un des membres seront choisis dans la Généralité de Grenoble, dont un député qui représentera Villard-de-Lans…
Un centre-ville agréable à Villard-de-Lans
Dans la chapelle du Saint-Sacrement, ont été conservés, les fonts baptismaux en pierre sculptée de la fin du XVe siècle. Dans le chœur, l’autel comporte deux mosaïques, œuvre de M. de LUIGI, artiste de Ravenne. Le soleil noir représente l’Ancien testament, le rouge le Nouveau testament.
La Croix au-dessus de l’autel, dite « de Saint-Damien », représente le Christ qui parle à St-François d’Assise. Elle a été réalisée par Michel et Geneviève BURLET.
Les vitraux les plus anciens ont été offerts au XIXe siècle par des familles de Villard.
Le tableau qui représente Notre Dame d’Ostra Brama, provient du réfectoire du Lycée polonais. Il est l’œuvre d’Alfred SIEBERNEIDSEN, dont le fils fut élève du Lycée.
Découvrir les pignons à redents
Connaissez-vous l'histoire des pignons lauzés ?
Ces "pas de moineaux" ou "pignons à redents" sont constitués de lauzes (pierres plates), et sont caractéristiques du Vercors.
Cette forme permettait de protéger les toitures de chaume des intempéries, telles que le vent du Sud, très réputé dans la région. La façade de la maison est généralement exposée plein sud, tournant le dos au vent froid du nord et comprend la majeure partie des ouvertures.
Au sommet du toit est posée une lourde pierre, on la nomme « la couve » : symbole de fertilité.
Ces toitures se retrouvent souvent sur les corps des fermes traditionnelles, mais de nombreuses nouvelles constructions perpétuent cette coutume
Pour les gourmands et gourmets : La tourte de l'Isère
Pour les pommes de terre Éplucher les pommes de terre, les rincer et les plonger entières dans de l’eau bouillante pendant 20 à 30 minutes (selon la taille) afin de les précuire. Il faut qu’elles soient tendres, mais pas complètement cuites. Les égoutter et les couper en fines lamelles. Réserver. Pour la crème aux poireaux Durant la cuisson des pommes de terre, éplucher l’oignon et l’émincer finement. Faire de même avec le blanc de poireau. Dans une poêle, les faire revenir doucement avec le beurre jusqu’à ce qu’ils soient tendres, soit environ 10 à 15 minutes. Saler, poivrer et remuer de temps en temps. Verser la crème, ajouter une pincée de noix de muscade râpée et un saint-marcellin coupé en morceaux. Faire chauffer 3 à 5 minutes à feu doux tout en remuant, jusqu’à ce que le fromage soit fondu.