• À PROPOS DE LA CRÈTE

    La Crête est la plus grande des iles grecques (260 km de long et 12 à 61 km de large) et la plus méridionale, mais c’est bien plus qu’une ile. Aux frontières de l’Europe, de l’Afrique et de l’Asie, la Crète, « l’ile des dieux », qui vit naître Zeus puis ses amours avec Europe, est le berceau de la civilisation européenne.

    Entre rêve et réalité, la Crête propose d’exceptionnels témoignages antiques et médiévaux : les palais minoens de Knossós, Phaestos ou de Malia; l’architecture vénitienne et ottomane des villes (Chania, Rethymnon, ou Heraklion) mais c’est aussi ce que tout voyageur peut attendre d’une ile grecque : de magnifiques plages et des eaux cristallines, un arrière-pays parsemés de petits villages, de monastères, d’églises et de maisons blanchies à la chaux, des oliviers à perte de vue et enfin des habitants accueillants qui vous feront découvrir une cuisine légendaire.
    Chacun pourra trouver en Crète ce qu’il cherche et si le tourisme a essaimé ses nombreuses stations balnéaires surpeuplées et bruyantes le long de la côte nord, il ne vous faudra pas longtemps pour rejoindre des régions plus calmes et authentiques aux extrémités de l’ile ou tout au long de la côte sud.

    La Crète est dominés par trois chaînes de montagnes qui ont profondément marqué l’âme de ses habitants et qui divisent la Crète en quatre régions très différentes les unes des autres. D’ouest en est : les Lefka Ori, « Montagnes blanches » qui atteignent 2452 m ; au centre, le mont Psiloritis (ou mont Ida) qui culmine à 2456 m, enfin tout à l’est, le mont Dikti qui s’élève à 2148 m. Ces trois massifs délimitent quatre régions autour de Chania à l’ouest, de Réthymnon, d’Héraklion et la grande région du Lasithi autour d’Agios Nikolaos qui occupent les quatre grandes baies de la côte nord de la Crète.

    Pour vous guider là-bas

    La capitale de la Crète, Héraklion est une ville dans laquelle il fait bon vivre et un point de départ unique pour découvrir les lieux de réputation internationale de la région. L’Héraklion d’hier : le port vénitien et les murailles, endroit idéal pour une promenade à travers l’histoire. La ville animée d’aujourd'hui : places et rues piétonnes remplies de jeunes, de petits établissements servant du raki et de l’ouzo, de restaurants gastronomiques et d’hôtels de luxe.

    À côté, une série de musées exceptionnels et un des plus grands aquariums d’Europe. Un peu en dehors d’Héraklion se trouve la célèbre cité antique de Knossos, l’une des attractions majeures en Crète de l’île et de toute la Grèce, et le centre le plus important de la civilisation minoenne : le palais de Minos et le lieu associé au mythe du Minotaure.

     

    La légende du minotaure

    Minos, fils de Zeus et d'Europe, et roi légendaire de Crète, se maria, lorsqu’il accéda au trône, à Pasiphaé, elle-même fille d’une autre divinité, Hélios, le dieu soleil.

    La légende raconte qu’un jour Minos pria Poséidon, dieu des Mers, de lui donner un superbe

    La Crète mycénienne - Petite histoire

    L'éruption de Santorin vers -1400 porte un coup fatal à la civilisation minoenne. Le tremblement de terre, provoqué par l'éruption et la destruction des cités qu'il engendre, favorise les incursions des Mycéniens. Les traces archéologiques montrent l'existence d'établissements mycéniens sur l'île dès -1380. Cette nouvelle phase de l'histoire minoenne est appelée « Crète mycénienne », ce qui signifie que l'île devient une partie du monde mycénien, une dépendance du continent, mais elle ne perd pas son identité pour autant. C'est à cette époque que des inscriptions en linéaire B apparaissent et remplacent les inscriptions en linéaire A. Le linéaire B n'était pas utilisé en Crète de l'âge du bronze ancien ou moyen (qui utilisait à la place le linéaire A), mais il était largement utilisé sur les sites mycéniens de l'âge du bronze tardif sur le.(Extrait de Wikipédia)



    La curiosité !

    La chapelle de Georgioupoli

    La chapelle est bâtie près de l’embouchure de la rivière Almyros (vous pouvez d’ailleurs louer un bateau chez Turtle River). Pendant longtemps, les Crétois ont fui cette zone pour l’habitation, car elle était largement marécageuse et propice au développement de maladies comme la malaria.

     
    Le fort vénitien d'Eraklion

    La forteresse de Koules est une construction vénitienne gardant l'entrée du port d'Héraklion, en Crète. Aujourd'hui, haut lieu touristique de la ville, dominant le vieux port, elle est un symbole de la présence vénitienne puis ottomane sur l'île.

    L'aspect actuel de la forteresse serait celui des rénovations mises en œuvre par Michèle Sanmicheli (1484-1559), architecte au service de la République de Venise qui fut chargé de rebâtir les fortifications, dont la forteresse ici présentée, de la cité portuaire selon un nouveau style d'architecture militaire, la Trace italienne.

     
    La nouvelle église d'Askifou
     

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